Personnellement ma relation avec Instagram (pour ne citer que lui) c’est “je t’aime… moi non plus”.
Pour tout dire, depuis plusieurs années, Instagram et moi, c’est une vraie relation d’amour-haine.
J’ai adoré cette plateforme à ses débuts. Vraiment! J’y partageais beaucoup autour de mon ancienne activité (créatrice de faire part et décoration pour événements), je m’y amusais, je créais avec plaisir, tout semblait fluide, spontané… vivant.
Et puis, de mise à jour en mise à jour, d’algorithme en algorithme, tout ce que j’aimais s’est peu à peu évaporé.
Aujourd’hui, j’ai l’impression que tout y est devenu calculé, scripté, retouché, programmé.
Les partages me semblent souvent déconnectés du réel, trop lissés pour être sincères… et je ne m’y retrouve plus du tout.
J’ai fait plusieurs longues pauses en désinstallant l’appli. À chaque fois, je reviens avec l’envie d’y partager à nouveau, comme avant avec cette même petite flamme. Alors je me dis :
“Oublie les algorithmes. Partage comme tu es et comme tu aimes.”
mais à chaque fois le résultat est le même et j’ai envie de claquer la porte pour faire autre chose autrement autre part.
Les autres réseaux j’y suis aussi mais c’est pas pareil, je les ouvrent beaucoup moins…
En tout jusqu’à ce soir j’avais l’impression que c’était moi le problème avec cette appli alors à lire tous les commentaires sous votre partage ou d’autre que j’ai eu l’occasion de croiser ici sur Substack, je suis « rassurée » de voir que je ne suis pas seule à me sentir « déconnectée »
Merci pour ces deux articles qui m’ont vraiment fait du bien. Pendant des années je me suis usée à entretenir un compte Instagram pour promouvoir mes activités de thérapeute. Ça n’a jamais décollé malgré le temps et l’énergie que j’y ai passé (et l’argent pour des formations ou pour des pubs que j’ai dépensé).
L’année dernière je suis tombée gravement malade et j’ai décidé d’ouvrir un autre compte Instagram afin de documenter mon parcours. Mon premier réel a fait 320.000 vues (alors que si je dépassais les 500 sur mon autre compte j’étais aux anges!) et j’ai eu 2 fois plus d’abonnements en une semaine qu’en plusieurs années sur mon autre compte! La maladie serait-elle plus attirante que le bien être ? Maintenant que je suis sortie d’affaire, je me demande « quoi faire » de cette audience… je ne suis sur Substack que depuis quelques semaines et plus ça va, plus j’y trouve une sérénité qui m’était inconnue auparavant. Et je préfère passer du temps à lire et à écrire des articles de fond plutôt qu’à enchaîner les réflexions de surface. J’annonce donc sur mes comptes Instagram mon déménagement ici : si certaines personnes veulent me suivre, tant mieux. Je n’ai plus d’énergie à mettre dans cette course folle aux abonnés.
Merci de m’avoir lue. Ce qui a peut-être intéressé votre nouvelle audience sur Instagram, c’est le discours authentique et vrai sur la maladie.
Je ne sais pas si cela sera approprié suivant votre cas, mais parfois mélanger des partages sur votre pratique mais aussi sur vos propres tracas et difficultés va rendre vos écrits plus denses et « vrais ».
Proposer à votre audience Instagram de découvrir votre Substack peut vous aider à l’amorcer. Même si seulement quelques uns le font, cela vous motivera.
Merci pour cet article qui fait réfléchir. Surtout sur mon rapport avec Instagram. LinkedIn, il n’y a pas photo pour moi : j’y poste avec plaisir et c’est là où j’ai tous mes clients. Mais Instagram, je passe trop de temps à regarder des stories, ce qui ne m’apporte pas grand chose. Il n’y a pas une semaine sans que je me dise d’arrêter Instagram. Mais il y a des créateurs que j’aime suivre. Et puis les copains qui postent leurs dernières aventures. Et puis les actualités et le militantisme écologique et féministe. Je devrai peut-être faire le point sur les personnes que je suis et voir si je ne peux pas les suivre ailleurs - en newsletters, podcast ou YouTube. Bref, c’est pas si simple de quitter un réseau avec lequel on a grandi.
Depuis mon arrêt, j'ai lâché LinkedIn parce que trop anxiogène ... Trop d'informations.
Je garde mon compte Facebook sans l'avoir jamais trop utilisé ... Dernier contact avec certaines personnes ... C'est le site où j'ai tous les copains et vieilles relations ... Un peu comme un agenda qui nous rappelle les dates clés, les anniversaires, rien de plus.
Pas de Snapchat ni de TikTok, je n'en ai jamais compris ni l'utilité, ni l'intérêt ...
J'aime beaucoup le format d'Instagram que je dédie uniquement au suivi de business qui m'intéressent et de certaines personnes qui me touchent particulièrement. C'est un peu comme mon "jardin secret" où le but n'est pas de multiplier les suivis ou de retrouver mes amis (même s'il j'en suis quelques uns 😉) mais bien d'accéder à des contenus qui m'intéressent et, je le précise, du contenu positif, même en terme de média.
Et puis il y a Substack où j'ai eu le plaisir de vous découvrir 🥰 Substack, ce n'est que du plaisir. Je suis abonnée à votre compte et à celui d'une autre jeune femme et je n'en veux pas plus.
Plus et je m'éparpille, mon cerveau part dans tous les sens, je stresse et ne retire aucun plaisir ni enrichissement.
Tout déconnecter ? Non, pas pour l'instant. Juste bien choisir mes centres d'intérêts et ne pas partir dans tous les sens. C'est ça ma boussole.
La tentation de scroller peut être forte certains jours mais un rappel quotidien sur Instagram de ne pas dépasser 1 heure d'utilisation fait l'affaire.
Une belle journée à vous et toujours merci pour vos contenus riches et si intéressants ☀️💜
Merci de m'avoir lue. Oui, je crois qu'il faut faire le tri dans ce qu'on suit / lit. J'ai eu une approche extrême en coupant totalement Instagram, qui était le réseau où je passais le plus de temps.
Je crois que c'était un sevrage nécessaire.
Maintenant entre Substack et Youtube, j'ai mon compte de contenus relaxant et/ou inspirant.
Je crois que le principal est de trouver sa mesure dans tout cela.
Bonjour Tiffany, je vous suis depuis peu et le sujet me happe depuis un moment déjà !
Je ne suis que sur Instagram, et à part de manière sporadique sur Linkedin, je n'ai jamais mis un pied ailleurs.
Je suis lasse du temps qu'il "faut" y consacrer pour si peu de retours... Et quand je dis retours, je parle des échanges, pas des likes.
J'aime partager et les gens n'ont plus le temps là-bas, c'est fou. Enfin, du temps pour "zieuter", oui; mais se poser, non.
Bref, je viens de fêter mes 45 ans et je crois vraiment qu'il y a aussi un temps pour tout. Et puis ce qu'il s'y passe avec cet algorithme fou auquel on doit s'adapter en permanence ou entendre que ce n'est pas lui mais notre contenu qui est juste inintéressant, je n'en peux plus !
J'aime aussi les contenus longs, posés, pensés. Pérennes.
Je me réjouissais d'atterrir ici, une sorte de Safe place de l'écriture; depuis quelques semaines, j'ai l'impression que c'est un peu la foire d'empoigne, et que niveau visibilité, les règles se durcissent... Ce n'est peut-être qu'une impression.
Je suis tout de même contente de lire des choses qui me ressemblent, merci de prendre le temps de partager vos réflexions.
J’ai quitté mes réseaux (Instagram surtout mais aussi Tiktok et Facebook) il y a quelques jours, et, perdue dans mon flot confus d’informations je n’avais pas fait le lien avec ton article ! Donc oui je fais partie du lot des récemment déconnecté.es grâce à ton exemple, et je sens déjà une nette différence, davantage de temps, davantage de tranquillité à l’intérieur. J’avoue que je vais un peu scroller sur vinted pour le geste et le défilement des images, et peut-être la dopamine?
Je suis contente de cette décision et je n’exclus pas de ne jamais y retourner, à voir…
Présentation rapide : Salarié et auto-entrepreneur. Ingénieur le jour et formateur en Economie Circulaire le restant du temps.
Petit retour de mon coté : Je n'avais que LinkedIn comme réseau pour parler de mon activité secondaire jusqu'à dimanche (où LinkedIn a décidé de me suspendre mon compte).
J'ai donc profité de l'occasion pour me poser et repenser à mon business. Aujourd'hui est mon 4éme jour de "diète" et surprise : Je n'ai jamais autant avancer sur les sujets de fonds de ce dernier.
Pour être plus précis, j'avais 95% de mon activité qui était "LinkedIn dépendant", je suis donc en train de bâtir du contenu perein pour être trouvable différemment. Je suis aussi en train de repenser mon acquisition (en mettant ma formation en ligne de gratuite à payante pour avoir un flux de trésorerie à mettre sur un budget pub par exemple).
Cette mauvaise nouvelle me fait aussi passer plus de temps ici et me fait me dire que je n'aurais peut-être pas du abandonner cette plateforme (pour passer sur Kessel puis sur LinkedIn puis sur Systeme.io).
Depuis que j'ai découvert ton contenu, je l'ai binge-readé, et ça m'a fait un bien fou ! Merci de nous apporter de l'espoir que ça soit sur la déconnexion, le minimalisme, la constellation personnelle ou les investissements !
Ah ton message me fait très plaisir (et me motive à continuer). J’ai commencé sur Kessel mais il n’y avait pas de moteur de decouvrabilité et vu que je ne publie pas sur LinkedIn, mon audience ne se développait pas. Ici c’est bien mieux et je trouve la plateforme d’édition très aboutie.
Merci pour ce partage.
Personnellement ma relation avec Instagram (pour ne citer que lui) c’est “je t’aime… moi non plus”.
Pour tout dire, depuis plusieurs années, Instagram et moi, c’est une vraie relation d’amour-haine.
J’ai adoré cette plateforme à ses débuts. Vraiment! J’y partageais beaucoup autour de mon ancienne activité (créatrice de faire part et décoration pour événements), je m’y amusais, je créais avec plaisir, tout semblait fluide, spontané… vivant.
Et puis, de mise à jour en mise à jour, d’algorithme en algorithme, tout ce que j’aimais s’est peu à peu évaporé.
Aujourd’hui, j’ai l’impression que tout y est devenu calculé, scripté, retouché, programmé.
Les partages me semblent souvent déconnectés du réel, trop lissés pour être sincères… et je ne m’y retrouve plus du tout.
J’ai fait plusieurs longues pauses en désinstallant l’appli. À chaque fois, je reviens avec l’envie d’y partager à nouveau, comme avant avec cette même petite flamme. Alors je me dis :
“Oublie les algorithmes. Partage comme tu es et comme tu aimes.”
mais à chaque fois le résultat est le même et j’ai envie de claquer la porte pour faire autre chose autrement autre part.
Les autres réseaux j’y suis aussi mais c’est pas pareil, je les ouvrent beaucoup moins…
En tout jusqu’à ce soir j’avais l’impression que c’était moi le problème avec cette appli alors à lire tous les commentaires sous votre partage ou d’autre que j’ai eu l’occasion de croiser ici sur Substack, je suis « rassurée » de voir que je ne suis pas seule à me sentir « déconnectée »
Merci de m'avoir lue ! Oui, vous n'êtes pas seule, et je pense que nous sommes même de plus en plus nombreux à nous questionner.
Merci pour ces deux articles qui m’ont vraiment fait du bien. Pendant des années je me suis usée à entretenir un compte Instagram pour promouvoir mes activités de thérapeute. Ça n’a jamais décollé malgré le temps et l’énergie que j’y ai passé (et l’argent pour des formations ou pour des pubs que j’ai dépensé).
L’année dernière je suis tombée gravement malade et j’ai décidé d’ouvrir un autre compte Instagram afin de documenter mon parcours. Mon premier réel a fait 320.000 vues (alors que si je dépassais les 500 sur mon autre compte j’étais aux anges!) et j’ai eu 2 fois plus d’abonnements en une semaine qu’en plusieurs années sur mon autre compte! La maladie serait-elle plus attirante que le bien être ? Maintenant que je suis sortie d’affaire, je me demande « quoi faire » de cette audience… je ne suis sur Substack que depuis quelques semaines et plus ça va, plus j’y trouve une sérénité qui m’était inconnue auparavant. Et je préfère passer du temps à lire et à écrire des articles de fond plutôt qu’à enchaîner les réflexions de surface. J’annonce donc sur mes comptes Instagram mon déménagement ici : si certaines personnes veulent me suivre, tant mieux. Je n’ai plus d’énergie à mettre dans cette course folle aux abonnés.
Merci de m’avoir lue. Ce qui a peut-être intéressé votre nouvelle audience sur Instagram, c’est le discours authentique et vrai sur la maladie.
Je ne sais pas si cela sera approprié suivant votre cas, mais parfois mélanger des partages sur votre pratique mais aussi sur vos propres tracas et difficultés va rendre vos écrits plus denses et « vrais ».
Proposer à votre audience Instagram de découvrir votre Substack peut vous aider à l’amorcer. Même si seulement quelques uns le font, cela vous motivera.
Bonne continuation !
Merci pour cet article qui fait réfléchir. Surtout sur mon rapport avec Instagram. LinkedIn, il n’y a pas photo pour moi : j’y poste avec plaisir et c’est là où j’ai tous mes clients. Mais Instagram, je passe trop de temps à regarder des stories, ce qui ne m’apporte pas grand chose. Il n’y a pas une semaine sans que je me dise d’arrêter Instagram. Mais il y a des créateurs que j’aime suivre. Et puis les copains qui postent leurs dernières aventures. Et puis les actualités et le militantisme écologique et féministe. Je devrai peut-être faire le point sur les personnes que je suis et voir si je ne peux pas les suivre ailleurs - en newsletters, podcast ou YouTube. Bref, c’est pas si simple de quitter un réseau avec lequel on a grandi.
Merci de m’avoir lue !
Oui, il faut apprendre à renoncer à un certain nombre de contenus quand on quitte un RS.
Rien ne m’a manqué pour l’instant, et je vois arriver pas mal de créateurs que j’aimais suivre sur Substack (comme @Philosophy Is Sexy ).
Bonjour Tiffany,
Depuis mon arrêt, j'ai lâché LinkedIn parce que trop anxiogène ... Trop d'informations.
Je garde mon compte Facebook sans l'avoir jamais trop utilisé ... Dernier contact avec certaines personnes ... C'est le site où j'ai tous les copains et vieilles relations ... Un peu comme un agenda qui nous rappelle les dates clés, les anniversaires, rien de plus.
Pas de Snapchat ni de TikTok, je n'en ai jamais compris ni l'utilité, ni l'intérêt ...
J'aime beaucoup le format d'Instagram que je dédie uniquement au suivi de business qui m'intéressent et de certaines personnes qui me touchent particulièrement. C'est un peu comme mon "jardin secret" où le but n'est pas de multiplier les suivis ou de retrouver mes amis (même s'il j'en suis quelques uns 😉) mais bien d'accéder à des contenus qui m'intéressent et, je le précise, du contenu positif, même en terme de média.
Et puis il y a Substack où j'ai eu le plaisir de vous découvrir 🥰 Substack, ce n'est que du plaisir. Je suis abonnée à votre compte et à celui d'une autre jeune femme et je n'en veux pas plus.
Plus et je m'éparpille, mon cerveau part dans tous les sens, je stresse et ne retire aucun plaisir ni enrichissement.
Tout déconnecter ? Non, pas pour l'instant. Juste bien choisir mes centres d'intérêts et ne pas partir dans tous les sens. C'est ça ma boussole.
La tentation de scroller peut être forte certains jours mais un rappel quotidien sur Instagram de ne pas dépasser 1 heure d'utilisation fait l'affaire.
Une belle journée à vous et toujours merci pour vos contenus riches et si intéressants ☀️💜
Bonjour Alexandra,
Merci de m'avoir lue. Oui, je crois qu'il faut faire le tri dans ce qu'on suit / lit. J'ai eu une approche extrême en coupant totalement Instagram, qui était le réseau où je passais le plus de temps.
Je crois que c'était un sevrage nécessaire.
Maintenant entre Substack et Youtube, j'ai mon compte de contenus relaxant et/ou inspirant.
Je crois que le principal est de trouver sa mesure dans tout cela.
Je vous souhaite aussi une belle journée !
Bonjour Tiffany, je vous suis depuis peu et le sujet me happe depuis un moment déjà !
Je ne suis que sur Instagram, et à part de manière sporadique sur Linkedin, je n'ai jamais mis un pied ailleurs.
Je suis lasse du temps qu'il "faut" y consacrer pour si peu de retours... Et quand je dis retours, je parle des échanges, pas des likes.
J'aime partager et les gens n'ont plus le temps là-bas, c'est fou. Enfin, du temps pour "zieuter", oui; mais se poser, non.
Bref, je viens de fêter mes 45 ans et je crois vraiment qu'il y a aussi un temps pour tout. Et puis ce qu'il s'y passe avec cet algorithme fou auquel on doit s'adapter en permanence ou entendre que ce n'est pas lui mais notre contenu qui est juste inintéressant, je n'en peux plus !
J'aime aussi les contenus longs, posés, pensés. Pérennes.
Je me réjouissais d'atterrir ici, une sorte de Safe place de l'écriture; depuis quelques semaines, j'ai l'impression que c'est un peu la foire d'empoigne, et que niveau visibilité, les règles se durcissent... Ce n'est peut-être qu'une impression.
Je suis tout de même contente de lire des choses qui me ressemblent, merci de prendre le temps de partager vos réflexions.
Bonjour Magali,
Oui, il y a ou aura aussi du mauvais sur Substack.
J’ai commencé à supprimer des commentaires qui n’avaient rien à faire là et des messages directs.
La partie Notes peut aussi être indigeste. J’y vais rarement et rapidement mais pour l’instant certaines notes me permettent de découvrir des auteurs.
Je suis contente que mon contenu vous plaise, merci de m’avoir lue 🙏
J’ai quitté mes réseaux (Instagram surtout mais aussi Tiktok et Facebook) il y a quelques jours, et, perdue dans mon flot confus d’informations je n’avais pas fait le lien avec ton article ! Donc oui je fais partie du lot des récemment déconnecté.es grâce à ton exemple, et je sens déjà une nette différence, davantage de temps, davantage de tranquillité à l’intérieur. J’avoue que je vais un peu scroller sur vinted pour le geste et le défilement des images, et peut-être la dopamine?
Je suis contente de cette décision et je n’exclus pas de ne jamais y retourner, à voir…
Merci pour ton partage et ton suivi ⭐️
Marie.
Merci de m’avoir lue 🙏
Hello Tiffany, merci pour ce message !
Présentation rapide : Salarié et auto-entrepreneur. Ingénieur le jour et formateur en Economie Circulaire le restant du temps.
Petit retour de mon coté : Je n'avais que LinkedIn comme réseau pour parler de mon activité secondaire jusqu'à dimanche (où LinkedIn a décidé de me suspendre mon compte).
J'ai donc profité de l'occasion pour me poser et repenser à mon business. Aujourd'hui est mon 4éme jour de "diète" et surprise : Je n'ai jamais autant avancer sur les sujets de fonds de ce dernier.
Pour être plus précis, j'avais 95% de mon activité qui était "LinkedIn dépendant", je suis donc en train de bâtir du contenu perein pour être trouvable différemment. Je suis aussi en train de repenser mon acquisition (en mettant ma formation en ligne de gratuite à payante pour avoir un flux de trésorerie à mettre sur un budget pub par exemple).
Mais bref, je m'égard !
Merci pour ta magnifique newsletter !
Salut Régis,
Parfois une mauvaise nouvelle en cache une bonne.
Ton expérience en est la preuve.
Je n’en ai pas parlé mais j’étudie aussi la piste pub pour mes gîtes. Mais je me sens (encore)
grandement incompétente sur ce sujet.
Alex Martel en parle souvent, sa stratégie d’acquisition repose en partie sur cela. Tu devrais la suivre.
Merci de m’avoir lue 🙏
Cette mauvaise nouvelle me fait aussi passer plus de temps ici et me fait me dire que je n'aurais peut-être pas du abandonner cette plateforme (pour passer sur Kessel puis sur LinkedIn puis sur Systeme.io).
Depuis que j'ai découvert ton contenu, je l'ai binge-readé, et ça m'a fait un bien fou ! Merci de nous apporter de l'espoir que ça soit sur la déconnexion, le minimalisme, la constellation personnelle ou les investissements !
Au plaisir d'échanger avec toi !
Ah ton message me fait très plaisir (et me motive à continuer). J’ai commencé sur Kessel mais il n’y avait pas de moteur de decouvrabilité et vu que je ne publie pas sur LinkedIn, mon audience ne se développait pas. Ici c’est bien mieux et je trouve la plateforme d’édition très aboutie.